Rdc: Face à la Presse, Kabila recadre les Tirs.
Le 28 janvier 2018.
Le président de la République Démocratique du Congo, Joseph Kabila est sorti de son silence.
Le Chef d’État congolais a éclairé sa population sur la situation socio-polico-sécuritaire de son pays.
Joseph Kabila a répondu a toutes les questions que les autres qualifiés du sensible.
A la question de sa présentation à l’élection du 23 décembre 2018,le chef d’État ,Joseph Kabila a invité le peuple congolais à lire la constitution
Le président de la République a rassuré sa population qu’il se bat pour que la Rdc retrouve son bon chemin.
Voici les réponses à toutes les questions.
Mon plus grand succès est que la RDC existe toujours alors que beaucoup avait parié sur sa dislocation. Mon regret est de ne pas avoir réussi à transformer homme congolais, objectif de notre révolution. On a gardé des points négatifs du Zaïre
A la question sur le processus électoral, le chef d’État
Président Kabila ;Malgré bon déroulement processus, contestations en 2006 par candidat malheureux et par église catholique alors que président CEI était un abbé, désavoué .
Président Kabila : Personne ne doit donc prétendre que la démocratie est arrivée en RDC de leurs volontés. Ce n’est que parce que nous avons fait ce choix .
Président Kabila : Citez moi 1 seul pays qui a autant de partis politiques chez nos 9 voisins. Suis contre injures et calomnies mais pour la libre expression. Homologues des pays voisins s’en étonnent même auprès de moi. Ma réponse est que c’est ce qui fait de RDC un grand pays .
Président Kabila : ceux qui ont assassiné Lumumba devraient être plus humbles et ne pas revenir donner leçons de la démocratie dans ce pays. La RDC n’est pas complexée, Liberté presse, liberté opinion est respectées. Citez moi un seul pays voisin ayant presse libre comme en RDC.
Président Kabila : Pour moi les élections étaient le passage obligé, l’unique passage pour atteindre pacification, cohésion et reconstruction du pays. Celui qui a tué la démocratie en 1960, c’est celui qui a assassiné le premier ministre 6 mois après l’indépendance
Président Kabila : Suis resté constant depuis l’adoption constitution que je considère comme ma constitution. La démocratie est un choix politique et idéologique pour nous (répéter), c’est par conviction et non par contrainte qu’on a accepté d’aller aux élections en 2006/2011 .
Président Kabila : parmi ceux qui avaient le plu rejeter la constitution, il y avait l’église catholique. C’est grave de voir la capacité des hommes à se dédire.
Président Kabila : Je suis là seul à voir battu Campagne dans tout le pays pour faire adopter la constitution alors que d’autres la combattaient à partir ambassades et bistrots. Aujourd’hui ils disent défendre ce qu’ils avaient rejet hier
Président Kabila : Pour gagner la paix après avoir gagné la guerre, nous avons besoin de tout le monde. La situation est à 90% redevenu calme dans les Kasaï où 4/5 provinces sont dans la paix
Président Kabila : Situation identique en 2011, sous CENI dont président est désigné par confessions religieuses, faisant partie de la société civile. Les élections avaient été financées par nous seuls suite aux tergiversations partenaires
Président Kabila : 3 semaines avant élections 2011, communauté internationale est venue me voir pour me dire qu’elle pensait que ce n’est pas le moment de les organiser et demandant de les tenir dans 6 ou 9 mois.
Président Kabila : MONUSCO qui avait pourtant accepté d’appuyer la CENI lui a retiré son appui logistique, base de l’organisation des scrutins. Mais nous avons quand même fait nécessaire contre volonté communauté internationale .
Président Kabila : Je présente condoléances à ceux qui ont perdu membres famille 31 décembre et 21 janvier. Manifestation ne doit pas conduire à morts d’hommes. Il faut accroître culture démocratique, que élections ne soient pas deuil
Président Kabila : il faut permettre manifestations mais leur organisateurs doivent pouvoir répondre de leurs effets. Sommes stricts sur comportement forces de l’ordre, idem soit appliqué sur organisateurs.
Président Kabila : Senat et Assemblée Nationale doivent se pencher sur loi sur manifestation. Démocratie ce n’est pas la foire, j’espère que moi sera adoptée par Parlement .
Président Kabila : Le calendrier électoral est bien précis. Dès que élections auront été organisées et que l’élu sera connu, il y aura passation. Mais notre volonté est qu’elles soient bien organisées pour que l’après élection soit paisible.
Président Kabila : Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas eu d’élections cette année qu’il y a des groupes armés. Ces groupes armés causaient désolations bien avant 2016 .
Président Kabila : Comme en 2006 et 2011, la seule garantie que nous aurons des élections le 23 décembre 2018 est ce que la CENI RDC nous promet. Personne d’autre qu’elle n’est habilitée a prendre cet engagement .
Président Kabila : je n’ai pas vu inscrit dans calendrier électoral la tenue d’un référendum »
Président Kabila : ceux qui ont assassiné Lumumba devraient être plus humbles et ne pas donner leçons démocratie. RDC n’est pas complexée, Liberté presse, opinion respectées. Citez moi un seul pays voisin ayant presse libre comme en RDC .
Président Kabila : en 2016, Hôtel de Ville de Kinshasa avait accordé autorisation. Quel a été le bilan? Je ne suis pas contre manifestation mais brûler, piller, incendier palais peuple, n’est pas pacifique. A manifestation, faut responsable et itinéraire
Président Kabila : 3 semaines avant élections 2011, communauté internationale est venue me voir pour me dire qu’elle pensait que ce n’est pas le moment de les organiser et le demandant de les tenir dans 6 ou 9 mois .
Président Kabila : Rendons à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. Quand on veut tout mélanger, le résultat n’est pas toujours bon.
Pour 3ème cycle, souci est cohésion, transparence, auto financement processus électoral.
Abdul connexion
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