Aussitôt élus, les futurs députés nationaux doivent revoir le délai prévu pour la campagne électorale, surtout pour les candidats à la présidentielle.
C’est une aberration s’accorder 30 jours pour les candidats à la magistrature suprême qui doit sillonner 26 provinces.
Physiquement et mathématiquement impossible. C’est comme si on les obligeait indirectement de ne se limiter que dans des grandes villes. Pourtant gagner les élections c’est convaincre l’arrière pays.
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