Point de vue d’un membre de la société civile environnementale.
La problématique des états généraux de la forêt de la République démocratique du Congo est que les activités en cours d’exécution ne sont pas en accord avec les résolutions prises lors de ces états généraux.
Les états généraux de la forêt de la Rdc ont pour objectif de débattre et de trouver des solutions aux problèmes liés à la gestion de la forêt, tels que la déforestation, l’exploitation illégale du bois, la conservation de la biodiversité, etc.
Lors de ces rencontres, des résolutions sont prises pour orienter les actions à entreprendre.
Toutefois, il arrive souvent que les résolutions prises ne soient pas appliquées ou ignorées par les parties prenantes concernées.
Cela peut être dû à diverses raisons, notamment le manque de volonté politique, les intérêts économiques qui prévalent sur la préservation de la forêt, ou encore le manque de ressources et de capacités pour mettre en œuvre les résolutions.
Cela entraîne un décalage entre les objectifs fixés lors des états généraux et la réalité sur le terrain.
Par exemple, si une résolution vise à réduire la déforestation, il est possible que les activités d’exploitation forestière illégale continuent malgré cela.
Ce décalage entre les résolutions et les actions concrètes compromet les efforts de conservation de la forêt en Rdc.
Il est donc primordial de trouver des mécanismes pour assurer la mise en œuvre effective des résolutions prises lors des états généraux, en impliquant tous les acteurs concernés et en garantissant la transparence et la responsabilité dans les actions entreprises.
Seulement de cette manière, les états généraux de la forêt pourront véritablement contribuer à la préservation de ce patrimoine naturel vital.
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