Les travaux se poursuivent jusqu’au 6 septembre, avec un accent particulier sur l’Est de la RDC.
Le FCC de Joseph Kabila prend part à ces assises.
La délégation est conduite par le professeur Néhémie Mwilanya, dernier directeur de cabinet de l’ex-Chef de l’État.
Elle est composée notamment d’André Kimbuta (ancien gouverneur de Kinshasa), de Francine Muyumba (ancienne sénatrice) et du professeur Félix Momat (ancien vice-ministre du Budget).
« Cette participation traduit un engagement constant dans les mécanismes continentaux de résolution des conflits », explique le professeur Félix Momat
Qui souligne également « l’importance du partage des connaissances fines des dynamiques congolaises afin de contribuer à la formulation de solutions durables et contextuellement pertinentes ».
Selon lui, « cette implication s’inscrit dans la continuité de la vision de souveraineté, de stabilité et d’intégration régionale portée par l’ancien président Joseph Kabila Kabange ».
Il rejette les accusations de « partialité » ou de « proximité » formulées par certains acteurs politiques
« Cela relève d’une lecture politicienne qui dénature les principes fondamentaux de la diplomatie panafricaine »
« Transformer la neutralité relationnelle d’un médiateur continental en soupçon de favoritisme traduit une vision étroite et politisée de la diplomatie, qui nuit à la crédibilité internationale de la #RDC »
S’agissant des opposants qui n’ont pas obtenu de visas, il rappelle que « les décisions relatives à la délivrance ou au refus de visas relèvent exclusivement des prérogatives souveraines de l’État sud-africain »
Et de conclure : « nous n’avons ni la compétence ni la légitimité pour commenter des décisions relevant de l’exercice souverain d’un autre État. »
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