Coup de théâtre en RDC. La Communauté Internationale, encourage Joseph Kabila à revenir rapidement au pouvoir et à démettre Félix Tshisekedi.
Le récent discours à la nation de Joseph Kabila avait reçu l’aval des grandes puissances qui l’ont lu, tenez-vous bien, cinq jours avant dans le plus grand secret !
Kikaya Bin Karubi, le secrétaire particulier de l’ex président s’était chargé d’envoyer des copies à chaque administration occidentale.
LES REGRETS DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE !
L’acte qui a fait basculer la donne, c’est la levée des immunités parlementaires de celui que la loi congolaise accorde la qualité de ” Sénateur à vie”
Pour l’occident, cet acte humiliant, dégradant, poussera plusieurs chefs d’Etat Africain à ne plus jamais quitter leur fonction de peur de ” représailles et règlements des comptes politiques” explique un diplomate anglais sous le saut de l’anonymat.
Raison pour laquelle vous remarquerez qu’aucun Etat occidental n’a ni critiqué le discours de Kabila, ni condamné son arrivée à Goma le 25 Mai tard dans la nuit à peine deux jours après son fameux discours !
QUE FERA KABILA À GOMA ?
Sachez tout d’abord que Kabila a passé une grande partie de la journée au Rwanda avant de rejoindre Goma dans la nuit profonde du 25 Mai . Il a eu un tête à tête avec Paul Kagame de plusieurs heures. Les réunions se sont enchaînées, des accords signés entre la délégation de Kabila et les officiels politiques et militaires rwandais, confirme notre source.
Le tout, téléguidé au téléphone à partir de Washington et de Londres.
Kagame a ensuite remis une trentaine de véhicules de luxes, 4×4, pour transporter la délégation de Kabila, très nombreuses, à Goma. Une délégation composée de plusieurs généraux, dont son principal allié John Numbi, et autres officiers ayant quitté Tshisekedi, les gardes rapprochés de Kabila qui ne l’ont jamais quitté depuis qu’il est en exile et quelques opposants à Tshisekedi.
Avec l’arrivée de Kabila, Goma devient le quartier général des opérations militaires, politiques et diplomatiques.
L’idée première est de “renverser Félix Tshisekedi” car l’option à été actée précise le diplomate anglais. il poursuit en disant: ” Les États-Unis refusent l’option militaire en privilégiant des pressions pour pousser Tshisekedi à la démission”
Le Rwanda joue la carte militaire en soutenant que pacifiquement, Félix Tshisekedi ne quittera jamais le pouvoir. Une option partagée par Corneille Nangaa, Chef de la rébellion du M23 et Bertrant Bissimwa de la branche militaire.
Le lundi 26 Mai, les réunions marathon organisées par Kabila à Goma ont tourné autour de cette question. A Goma, Joseph Kabila est venu prendre les choses en mains, coordonner le tout lui-même à la demande et au soutien de la communauté internationale
QUE DEVIENDRA CORNEILLE NANGAA ?
Voici la réponse du diplomate anglais: Cette question a été étudiée par l’Occident avec l’accord de Kabila. Nangaa restera à la tête de la rébellion pour l’exécution des décisions, et parler aux médias, faire exécuter les ordres sur terrain. Kabila lui, ne sera pas sur terrain avec les troupes non ! De son bureau, il donnera une vision globale et rien ne se fera sur le plan militaire, politique et diplomatique sans son accord et ses injoctions ! Le même rôle qu’il tenait avant de se démasquer.
TSHISEKEDI LACHÉ DÉFINITIVEMENT ?
Les sources diplomatiques le confirment. Félix Tshisekedi doit rapidement quitter ses fonctions !
C’est une question des mois. Entre Août et septembre 2025, le régime aura changé, la RDC vivra un nouvel épisode de son histoire.
” Nous avons dit à Monsieur Félix Tshisekedi qu’il est arrivé au pouvoir avec notre soutien puisqu’il n’était pas élu. Maintenant la donne a changé. Pour favoriser la paix, la sérénité et le développement du Congo, mettre fin à la guerre il serait bon qu’il quitte rapidement ses fonctions. Il ne semblait pas être d’accord avec ça, mais il n’a pas le choix”
LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE LANCE THABO MBEKI.
Pour faire comprendre à l’actuel président congolais qu’il doit quitter ses fonctions, l’Occident a lancé sur les médias Thabo Mbeki. Sans porter les gants, l’ancien Chef de l’Etat sud-africain est venu rappeller à Tshisekedi que c’est lui le problème. Thabo Mbeki est celui qui avait été désigné par la communauté internationale pour piloter le dialogue intercongolais de Sun City en Avril 2002, lequel avait permis à la RDC de sortir de l’impasse politique jusqu’à la production en 2006 d’une nouvelle constitution. La sortie de Mbeki est donc un signal. Ce signal doit selon le diplomate anglais amener Félix Tshisekedi a commencer à faire ses valises. Et s’il s’entête ??
” S’il s’entête hé bien, Kabila et Nangaa arriveront à Kinshasa. C’est ce qui est prévu. Ce qui est drôle, il le sait, Tshisekedi. On le lui a dit. Il a la chance de partir dignement en déposant sa démission. Il faut favoriser la paix. Il est arrivé au pouvoir au terme d’un engagement politique que nous avons porté, il doit partir par la même porte, c’est à dire un engagement politique. Ensuite, Une transition de deux années sera mise en place afin d’avoir des vraies élections démocratiques en 2028 “.
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