LAMBERT MENDE à Joseph Kabila : On ne joue pas avec la sûreté de l’État

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Lorsqu’un ancien président de la République ou un sénateur choisit de s’afficher publiquement aux côtés des agresseurs de la Nation, l’État congolais ne peut rester passif. Il doit tirer toutes les conséquences d’un tel acte.

Le ministère de l’Intérieur devrait immédiatement retirer l’agrément du parti politique affilié à l’AFC/M23, qui représente aujourd’hui la branche politique des agresseurs. Tous les membres de ce parti, ainsi que les proches de l’intéressé, devraient être placés sous haute surveillance.

Par ailleurs, le Parlement devrait se réunir en congrès pour procéder à la levée des immunités parlementaires et autoriser la Cour constitutionnelle à engager des poursuites pour haute trahison. Dans cette même logique, la Haute Cour devrait ordonner la saisie de ses biens et l’invalidation de son passeport diplomatique.

Nous sommes ici pour défendre la République et ses lois. La sûreté de l’État doit être protégée avec la plus grande vigilance. Elle est pour la Nation ce que la prunelle des yeux est pour l’homme : précieuse, vitale, irremplaçable

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