Faire d’un ancien cadre d’Al-Qaïda un président légitime revient à sanctifier le crime et à offrir une tribune politique à l’idéologie terroriste. C’est un affront aux victimes de la barbarie et un camouflet à toute tentative de justice. En choisissant un tel dirigeant, on valide la violence et le fanatisme comme moyen de gouvernance. La Syrie mérite un avenir fondé sur la paix et la dignité, non sur le recyclage de figures extrémistes dont le seul objectif est de renforcer leur pouvoir.
Tout le monde sait pourtant que les véritables acteurs derrière ce mouvement sont loin d’être les personnages qu’on nous présente. Ces marionnettistes se cachent dans l’ombre, manipulant les ficelles du pouvoir pour leurs propres intérêts géopolitiques. Cette mise en scène n’est qu’une façade, un écran de fumée derrière lequel se dissimulent les véritables forces qui exploitent les conflits pour leurs gains stratégiques.
G.S.N
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