La voix s’élève, elle n’est pas d’ importe qui ,c’est celle du Gardien du Temple , Pionnier et Acteur Clé de la Société Civile Environnementale
que votre Agence Conseil en Communication et Production ” Abdul Connexion ” et de votre Journal Indépendant ACNEWS24.COM qualifient ” la Voix du Grand Chef Coutumier de la Conservation des forêts de la République démocratique du Congo,deuxième poumon mondial.
Il s’agit de Mr Joseph Bobia Bonkaw ,Coordonnateur National du Bureau de Veille et de Gouvernance des Ressources Naturelles en Rdc ” BVGRN – Asbl “.
Après une analyse approfondie sur le programme de la Réduction des Émissions dues à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts ” REDD + ,Mr le Coordonnateur National du BVGRN – Absl alerte en ce terme .
Salutations Chers amis.
Déjà en 2009 à Copenhague, les amis qui étaient avec moi à cette COP (Jeune Patrick Saidi, Honorable Néné, Me Roger Muchuba, Adrien Sinafasi,… ) se souviendront de ce que j’avais personnellement dit de cette REDD naissante et j’ai même publié mon texte dans le Magazine Ressources Naturelles du RRN sous ma Direction. Le numéro 4 de ce Magazine peut être encore retrouvé dans les archives du RRN.
La REDD jusqu’à ce jour c’est :
1. Autant de voyages, de réunions et d’apprentissages de seuls Experts alors que les grands experts de préservation des forêts (peuples autochtones et communautés locales/PACL) sont mis à l’écart;
2. Beaucoup de fonds (préparation processus REDD en RDC, Élaboration document de stratégie nationale REDD depuis 2012, universités d’été REDD pour former, des formations sur formations interminables qui font bénéficier aux seuls internationaux avec des salaires de 15.000$ ou plus alors que les nationaux, pour le premier supérieur aux expatriés, n’atteint à peine 2.000$ ou 2.500$ sans prime alors que ses subalternes ont des frais de santé, voyages à répétition;
3. Ces experts internationaux REDD beaucoup! Il faudra se dire que beaucoup ont appris dans le tas et auprès des nos Ong nationales et locales bien rodées qui sont toujours avec les cibles qui protègent les forêts et qui ne tirent pas bénéfices de leurs forêts ;
4. Je me rappelle encore de la question presque banale de Mr Julien Kabalako alors Porte – parole de la Dynamique REDD géree par DGPA et RRN avec appui de RFN, question posée au ministre norvégien de l’environnement lors de son voyage en 2016 pour annoncer l’octroi de 250 millions à la RDC; fonds à utiliser par passerelles PNUD parce que les structures et institutions nationales n’avaient ou n’ont pas capacités de gestion. La réponse du ministre norvégien de l’époque a fait rire les gens et seuls les initiés comme nous avions compris les enjeux qui se préparaient;
5. La gestion par le PNUD de 250 millions de $ sur la base de la LO I 1 à aboutit à quoi ? Les évaluations voilées de 2016-2020 ont fait autant de révélations sur le pourcentage d’utilisation de fonds entre l’entretien des bureaux des Agences d’exécution (on se demande pourquoi on les appelait agences locales d’exécution), les salaires ou le fonctionnement des Agences, la part allouée aux projets en exécution et le niveau de consommation du budget de 2016 à 2016;
6. Le point 5 a fait irriter les congolais qui se sont dits que nous devons à la LOI2 2021-2025 demander à CAFI beaucoup de fonds ( un milliard l’an multiplié par 10 ans 2021 à 2030) et que les structures nationales (comme mentionne ce communiqué de presse du GTCRR, structure pour laquelle j’ai dépensé mes énergies et mon temps pour qu’elle soit établie et fonctionne) doivent gérer des fonds (on leur dit que ce sont leurs fonds) alors qu’elles sont encore considérées comme n’ayant pas encore de capacités de gestion de fonds / mais curieusement ce sont les 500 millions de contrat de Glasgow alors que tous musions sur les 10 milliards pour dix ans ?
7. Et aujourd’hui, quelle est la consommation du fonds 500 millions de Glasgow ? Quelle est la centaine de projets sélectionnés ayant déjà bénéficié de ces fonds? Quelle restructuration de FONAREDD, de CAFI,… ayant permis aux PACL de retrouver leurs comptes ? Les PIREDD en exécution sans être tablés sur les besoins primordiaux des PACL! Les palmiers nains amenés aux communautés locales de Mai – Ndombe par exemple comme initiatives sans suite de transformation, dont les champs jonchent les routes devenues des sentiers, la circonscription des terroirs villageois devenant objectif fondamental avec possible entretien des conflits entre les PACL si telles communautés ne sont pas impliquées dans cette cartographie.
8. Autant de préoccupations que nous nous nous réservons de clamer et nous n’emboiterons pas le pas au Président Trump qui parle d’arnaque cette REDD.
NOUS DISONS COMME, DEPUIS 2009, IL FAUT MIEUX REDÉFINIR LES APPROCHES DEPUIS LE PREMIER SOMMET DE LA TERRE À RIO DE JANEIRO EN 1992 POUR METTRE LES PACL AU CENTRE DE LA REDD. CES DERNIERS APPARAISSENT COMME DINDONS DE CE QUE PRÉSIDENT TRUMP APPELLE ARNAQUE.
9. Je donne un peu raison à l’actuelle Ministre de l’Environnement Développement Durable et Nouvelle Économie du Climat qui s’est positionnée pour demander que désormais notre pays la RDC soit membre du Comité d’administration ou de gestion de fonds CAFI. Quelle est la réaction de CAFI? Il faudra encore bien renégocier.
Merci.
Joseph BOBIA BONKAW
Coordonnateur National
Tél. : +243813624506 – 998182145
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