Sous nos pieds, l’eau se fait silencieusement plus rare.
Le changement climatique modifie les saisons, réduit les précipitations dans certaines zones, et intensifie les sécheresses.
Résultat : les nappes phréatiques se rechargent plus lentement, tandis que les forages se multiplient pour répondre aux besoins humains.
Les effets sont déjà visibles :
Baisse du niveau des nappes,
tarissement de certains puits,
salinisation dans les zones côtières,
et perte d’équilibre entre prélèvement et recharge.
Ce que dit la loi congolaise
La Loi n°15/026 du 31 décembre 2015 sur l’eau rappelle que la gestion de l’eau doit s’adapter à la protection des écosystèmes aquatiques et encourager la protection des zones de recharge.
Cela implique :
Une planification durable des forages,
des programmes de reboisement,
et la surveillance continue des nappes par les services techniques compétents.
Notre responsabilité collective
Face au climat qui change, chaque goutte compte.
Protéger les nappes, c’est préserver la vie future.
L’eau souterraine n’est pas inépuisable : elle doit être gérée avec science, législation et conscience.
À retenir : Le climat change, nos habitudes doivent suivre. Sauver les nappes aujourd’hui, c’est protéger demain.

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