Burkina-France : Une guerre froide qui ne dit pas son nom.

Une guerre froide qui ne dit pas son nom.

Emmanuel Macron :

Nous devons renforcer notre amitié avec le capitaine Ibrahim Traoré, président du Burkina Faso et le convaincre d’autoriser l’installation de nos bases militaires dans son pays.

Ibrahim Traoré :

Mais vous êtes déjà amis avec les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Brésil, le Canada. Avez-vous des bases militaires dans ces pays ?